Égards

Par Friedrich von Platen

Je n’ai jamais eu la piqûre des vaccins.

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Est-ce moi ? Il me semble que les aiguilles tournent de plus en plus vite.

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Apparemment l’industrie pharmaceutique manquait de bras.

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Parce qu’ils ont été vaccinés, certains croient qu’ils ont la veine médicale.

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L’économie se relèvera. Voyez tous ces gens qui retroussent leurs manches !

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Connaissez-vous le film de Fritz Lang, le Docteur m’abuse ?

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À la une d’un journal : « Bras de fer entre l’État et les non-vaccinés ».

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Il est piquant de constater qu’un vaccin ne fonctionne qu’à moitié. 

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Chercher du foin dans une botte d’aiguilles !

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Depuis le début de cette crise, on nous ment à tour de bras.

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La vaccination obligatoire ? une idée de deux de pique.

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Je n’ai jamais eu de veine question santé.

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De fil en aiguille, tout le monde eut son injection.

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Le gouvernement a transformé le Stade olympique en piquerie géante. Pourquoi ne pas transformer le bras canadien en seringue géante ?

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Je le prédis : vacciner les populations du Tiers-Monde sera une autre paire de manches.

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Dire que ce monde se pique d’être en santé…

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Ce qui me frappe dans cette crise, ce sont surtout les invariants.

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Une petite minorité n’est pas vaccinée. Et ils sont piqués au vif ! 

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« Nous avons trouvé une bonne veine, déclara le ministre de la Santé : la seringue. »

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Lorsqu’on leur parle de vaccin, certains font un bras d’honneur.

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S’ouvrir les veines pour l’État !

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Une expression inquiétante dans certaines bouches : « Laissez-moi prendre votre bras ».

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Nous avons le choix : l’injection ou l’éjection.

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« Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un non-vacciné d’entrer dans le royaume de Dieu. »